Il y a 10 heures
D'accord merci pour ces précisions.
Dans mes calculs, j'ai volontairement posé des hypothèses simplificatrices pour tenter de rendre l'analyse compréhensible.
L'idée était d'illustrer que même quand les données à mesurer sont parfaitement stables (hypothèse très favorable à la régulation), le fait d'avoir une alternance de périodes à pleine puissance suivie de périodes à 0 introduit mathématiquement une erreur dans les mesures, d'autant plus que la durée de la mesure s'écarte d'un nombre entier de cycles complets.
Le fait que la période soit de durée variable complique l'analyse. De même, si on fait une hypothèse différente sur les temps de mesure du Shelly (à mon avis c'est très proche de la seconde, mais ce n'est qu'une hypothèse), les résultats numériques vont être différents (dans un sens ou dans l'autre). Mais sur le fond, le constat restera sensiblement le même.
Et je pense qu'il faut essayer d'avoir un temps de réaction de plus court possible, pour que le système s'adapte aussi rapidement que possible aux changements d'ensoleillement ou de consommation de la maison. Et pour cela, avoir d'une part une lecture rapides des données du Shelly (ou autre) et d'autre part une synchronisation des lectures avec les changements de valeurs au niveau des mesures de puissance, tout ça va dans le sens de permettre d'espérer un système plus réactif (et donc réduire l'énergie injectée et l'énergie consommée).
Dans mes calculs, j'ai volontairement posé des hypothèses simplificatrices pour tenter de rendre l'analyse compréhensible.
L'idée était d'illustrer que même quand les données à mesurer sont parfaitement stables (hypothèse très favorable à la régulation), le fait d'avoir une alternance de périodes à pleine puissance suivie de périodes à 0 introduit mathématiquement une erreur dans les mesures, d'autant plus que la durée de la mesure s'écarte d'un nombre entier de cycles complets.
Le fait que la période soit de durée variable complique l'analyse. De même, si on fait une hypothèse différente sur les temps de mesure du Shelly (à mon avis c'est très proche de la seconde, mais ce n'est qu'une hypothèse), les résultats numériques vont être différents (dans un sens ou dans l'autre). Mais sur le fond, le constat restera sensiblement le même.
Et je pense qu'il faut essayer d'avoir un temps de réaction de plus court possible, pour que le système s'adapte aussi rapidement que possible aux changements d'ensoleillement ou de consommation de la maison. Et pour cela, avoir d'une part une lecture rapides des données du Shelly (ou autre) et d'autre part une synchronisation des lectures avec les changements de valeurs au niveau des mesures de puissance, tout ça va dans le sens de permettre d'espérer un système plus réactif (et donc réduire l'énergie injectée et l'énergie consommée).