Il y a 11 heures
On dit par abus de langage qu'on "route de l'énergie", en fait, le routeur régule une tension appliquée aux bornes d'une charge inconnue afin d'avoir une consommation du foyer qui est égale à la consigne Pw fixée.
Si la charge ne prend pas d'énergie (cas du CE plein dont le thermostat se coupe), le routeur va afficher 100% de routage (soit la tension maximale) alors qu'il ne route rien.
Le temps équivalent n'est donc pas exactement un temps de routage, mais un temps de présence équivalente d'une tension maximale (ie 230V).
Plusieurs personnes ont un surplus qui reste toujours inférieur à la puissance du CE; le 100% n'est donc jamais atteint. Sauf quand le CE est plein.
Cette caractéristique peut être utilisée pour détecter que le CE est plein, et éventuellement enclencher le routage vers une autre source; il faut dans ce cas ajouter une condition sur le taux d'ouverture du SSR du premier CE.
Parfois, il est même nécessaire de créer une action virtuelle (sur un GPIO qui n'est branché à rien), afin de créer une nouvelle information intermédiaire. Cette nouvelle action peut servir de condition à une troisième action. Cela devient complexe, mais ça fonctionne.
Concernant la lecture de la TIC, son avantage est clairement d'avoir un résultat indiscutable. On peut lui reprocher d'être un peu lent, mais par rapport au Shelly, je dirais que cela revient au même car avec le Shelly il faut beaucoup baisser la réactivité afin de lisser la mesure. De plus, c'est la solution qui ne coûte quasiment rien (optocoupleur + fil vers TIC).
Son principal inconvénient, c'est pour les personnes qui ont un CACSI; mais comme on l'a vu, il existe un moyen d'estimer le niveau d'injection afin que la réactivité soit aussi bonne en montée du % qu'en descente. Reste que le seuil Pw devra être > 30W pour que cela soit stable à l'équilibre.
Si la charge ne prend pas d'énergie (cas du CE plein dont le thermostat se coupe), le routeur va afficher 100% de routage (soit la tension maximale) alors qu'il ne route rien.
Le temps équivalent n'est donc pas exactement un temps de routage, mais un temps de présence équivalente d'une tension maximale (ie 230V).
Plusieurs personnes ont un surplus qui reste toujours inférieur à la puissance du CE; le 100% n'est donc jamais atteint. Sauf quand le CE est plein.
Cette caractéristique peut être utilisée pour détecter que le CE est plein, et éventuellement enclencher le routage vers une autre source; il faut dans ce cas ajouter une condition sur le taux d'ouverture du SSR du premier CE.
Parfois, il est même nécessaire de créer une action virtuelle (sur un GPIO qui n'est branché à rien), afin de créer une nouvelle information intermédiaire. Cette nouvelle action peut servir de condition à une troisième action. Cela devient complexe, mais ça fonctionne.
Concernant la lecture de la TIC, son avantage est clairement d'avoir un résultat indiscutable. On peut lui reprocher d'être un peu lent, mais par rapport au Shelly, je dirais que cela revient au même car avec le Shelly il faut beaucoup baisser la réactivité afin de lisser la mesure. De plus, c'est la solution qui ne coûte quasiment rien (optocoupleur + fil vers TIC).
Son principal inconvénient, c'est pour les personnes qui ont un CACSI; mais comme on l'a vu, il existe un moyen d'estimer le niveau d'injection afin que la réactivité soit aussi bonne en montée du % qu'en descente. Reste que le seuil Pw devra être > 30W pour que cela soit stable à l'équilibre.