Il y a 2 heures
Bonjour, que pensez vous de cette video et des argumentaires expliqué par l'auteur, merci
JE ne veux pas de Routeur solaire!
Guillaume Piton déconseille fermement l'utilisation d'un routeur solaire pour les ballons d'eau chaude, car il génère un signal électrique dégradé via des gradateurs (triacs) qui découpent la sinusoïde, créant des pics de puissance et des harmoniques élevés plutôt qu'une vraie autoconsommation proportionnelle. Il explique que ce dispositif donne une illusion d'équilibre (0 W injecté au réseau en moyenne) en masquant des échanges réels avec le réseau (pics de consommation et d'injection décalés dans le temps), sans aligner effectivement la production solaire et la consommation de la résistance. À la fin, il propose des alternatives comme des relais ampèremétriques ou un contacteur direct, mais insiste sur l'absence d'intérêt réel du routeur.
Points clés de déconseil
JE ne veux pas de Routeur solaire!
Guillaume Piton déconseille fermement l'utilisation d'un routeur solaire pour les ballons d'eau chaude, car il génère un signal électrique dégradé via des gradateurs (triacs) qui découpent la sinusoïde, créant des pics de puissance et des harmoniques élevés plutôt qu'une vraie autoconsommation proportionnelle. Il explique que ce dispositif donne une illusion d'équilibre (0 W injecté au réseau en moyenne) en masquant des échanges réels avec le réseau (pics de consommation et d'injection décalés dans le temps), sans aligner effectivement la production solaire et la consommation de la résistance. À la fin, il propose des alternatives comme des relais ampèremétriques ou un contacteur direct, mais insiste sur l'absence d'intérêt réel du routeur.
Points clés de déconseil
- Harmoniques et parasites réseau : Le découpage crée des pics rapides (microsecondes) provoquant vibrations de la résistance, chutes de tension, et haut taux d'harmoniques (jusqu'à 50%), dégradant le signal dans toute la maison et potentiellement le quartier.
- Illusion d'autoconsommation : Seulement 1/3 de l'énergie solaire est vraiment autoconsommée ; le reste implique des pics de 2000 W consommés du réseau suivis d'injections, feignant l'équilibre auprès du compteur (échantillonnage trop lent).
- Risques pour onduleurs hybrides/batteries : Pics surchargent l'onduleur (100% charge instantanée), usent prématurément le matériel, et empirent en autonomie ou coupure réseau.
- Dommages aux appareils : Parasites font chauffer moteurs, compresseurs, frigos (effet de peau en haute fréquence), réduisant leur durée de vie.youtube+1
- Manque d'honnêteté technique : Pas de variation réelle de puissance (seul "tout ou rien" fractionné) ; équivalent à une résistance fixe sans parasites, mais avec feinte du compteur.
